« ̶ L’important ce n’est pas l’entrée en religion, mais l’entrée dans l’éternité. »

D’autres mystères de l’Au-delà vont encore se révéler à Josepha.

A cette même époque, Carême de 1922, tandis que jours et nuits, elle porte le poids de telles persécutions, Dieu la met en rapport avec un autre abîme de douleurs, celui du Purgatoire. Bien des âmes viennent alors solliciter des suffrages et ses sacrifices dans les termes de la plus grande humilité. D’abord saisie, elle s’accoutume peu à peu aux confidences de ces âmes souffrantes. Elle les écoute, leur demande leur nom, les encourage et se recommande avec confiance à leur intercession. Leurs leçons sont précieuses à recueillir.

L’une d’elles, venant lui annoncer sa délivrance, ajoute :

«  ̶  L’important ce n’est pas l’entrée en religion, mais l’entrée dans l’éternité. »

«  ̶  Si les âmes religieuses savaient comment il faut payer ici les petites flatteries qu’on donne à la nature ! ... »  ̶  disait une autre en demandant des prières. »

« Un appel à l’Amour » - Sœur Josepha Menendez

L’entrée dans les ténèbres de l’Au-delà 4 mars – 15 avril 1922